Modification de la configuration d’OpenDKIM (/etc/opendkim.conf) :
Socket inet:8891@localhost
LogWhy yes
MilterDebug 1
# Log to syslog
Syslog yes
# Required to use local socket with MTAs that access the socket as a non-
# privileged user (e.g. Postfix)
UMask 002
KeyTable /etc/dkim/KeyTable
SigningTable /etc/dkim/SigningTable
ExternalIgnoreList /etc/dkim/TrustedHosts
InternalHosts /etc/dkim/TrustedHosts
Il faut maintenant générer les clefs & ce script va nous y aider :
#!/bin/bash
# Script sous licence BEERWARE
SELECTOR="mail"
REPERTOIRE="/etc/dkim"
DOMAINE=$1
USERDKIM="opendkim"
GROUPDKIM="opendkim"
if ! [ -d "${REPERTOIRE}" ] ; then
echo "Le répertoire ${REPERTOIRE} n'existe pas."
exit 1
fi
if [ -z ${DOMAINE} ] ; then
echo "Vous devez avoir renseigner le domaine en argument du script."
exit 2
fi
if [ -d "${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}" ] ; then
echo "Le répertoire ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE} existe déjà... vous devez déjà avoir dû lancé le script."
exit 3
else
mkdir -p ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}
fi
opendkim-genkey -D ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE} -r -d ${DOMAINE} -s ${SELECTOR}
chown ${USERDKIM}:${GROUPDKIM} ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}/${SELECTOR}.private
echo "${SELECTOR}._domainkey.${DOMAINE} ${DOMAINE}:${SELECTOR}:${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}/${SELECTOR}.private" >> ${REPERTOIRE}/KeyTable
echo "${DOMAINE} ${SELECTOR}._domainkey.${DOMAINE}" >> ${REPERTOIRE}/SigningTable
echo "${DOMAINE}" >> ${REPERTOIRE}/TrustedHosts
if [ -f ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}/${SELECTOR}.txt ]; then
cat ${REPERTOIRE}/keys/${DOMAINE}/${SELECTOR}.txt
else
echo "Une erreur s'est produite !"
fi
Exemple d’utilisation du script :
$ ./addDkimKey.sh mercereau.info
mail._domainkey IN TXT "v=DKIM1; g=*; k=rsa; p=MIGfMA0GCSqGSIb3DQEBAQUAA4GNADCBiQKBgQDEOxRe2sVbsmDYbnB1pRWdx5U6FgZiwUKRl0gPFmsgPNA035P7gBLmhXrmALeJLZv0n7ARkStoIvl/ZNAbUep/YUgMynW5q2fsh4Pa/q82ocPKRKGLBYTxFDa+tyhG0oi5pzI6d37Ji9M40c5DgD/2QqTfyY5ywLqKG47+HuivJQIDAQAB" ; ----- DKIM mail for mercereau.info
Le script vous sort l’enregistrement DNS a ajouter pour terminer la configuration
On redémarre les services :
$ service opendkim restart
$ service postfix restart
Ajouter des services décentralisés « à la maison » c’est le bien mais à force d’empiler des briques… ça déborde. Et là j’étais à un stade ou la SWAP était un chouilla trop utilisée.
J’avais déjà désactivé ClamAv (anti-virus) pour économiser de la mémoire vive mais ça ne suffisait pas. Mon autre plus gros poste de dépense en RAM était Amavis/Spamassasin. Je me suis donc mis à chercher une alternative ; La plus légère et efficace semble être DSPAM.
Attention : Le fait de remplacer Amavis/Spamassasin va, de fait vous amputer de fonctionnalité administrable par le panel ISPconfig « Stratégie anti-spam », « liste blanche » car Ispconfig ne support pas (encore !?) DSPAM
Préparation
Étant donné que le serveur est déjà en prod j’ai modifié mon script de firewall (iptables) en spécifiant seulement mon adresse IP pour l’accès au SMTP (pour les tests) ça aura pour effet de faire patienter vos emails en file d’attente sur le serveur émetteur quoi que vous fassiez comme bêtise…
5 jours, c’est par défaut le temps d’attente maximal de la plupart des MTA. Vous pouvez donc théoriquement bricoler pendant 5 jours sans perdre d’email dans cet état…
Installation
Je suis sous Debian squeeze, les paquets Dsapm existe pour squeeze mais dans le backport (non activé pour ma part)
Dans mon cas j’ai choisi de tout le temps délivrer les SPAM et de tagger le sujet. L’apprentissage se fera via l’interface web (dont nous verrons la configuration plus tard)
Activer le démarrage de Dspam /etc/default/dspam
< start=NO
---
> start=YES
La configuration de Dspam à largement été inspiré du howto d’UNIX garden :
L’objectif premier était d’économiser de la mémoire vive, c’est chose faite ! la preuve en image :
Je suis aussi très satisfait de l’apprentissage de DSPAM. Au début ça peut faire peur parce qu’il laisse vraiment tout passer, mais l’apprentissage est rapide et significatif :
Horde c’est LE webmail/calendrier/note/tâche/signets que je trouve le plus a même de remplacer les services traditionnels cloudé (google & co)
Horde s’installe maintenant facilement grâce à Pear. C’est pratique à l’installation mais pas forcément pratique pour la maintenance (surtout en cas de mutualisation) Je vais expliquer ici comment l’installer de façon « standelone » (non dépendante)
Note : la configuration d’apache ne sera pas traitée ici, je fais pointer le DocumentRoot dans /var/www/horde
Commencer par créer un environnement pear pour votre instance horde :
Maintenant que nous avons notre environnement pear il ne reste plus qu’à l’utiliser :
/var/www/horde/pear/pear -c /var/www/horde/pear.conf channel-discover pear.horde.org
/var/www/horde/pear/pear -c /var/www/horde/pear.conf install horde/horde_role
/var/www/horde/pear/pear -c /var/www/horde/pear.conf run-scripts horde/horde_role
# Question : Filesystem location for the base Horde application :
# Répondre : /var/www/horde
/var/www/horde/pear/pear -c /var/www/horde/pear.conf install -a horde/webmail
Il faut ensuite éditer le /var/www/horde/.htaccess
Note : Attention ce fichier .htaccess sera écrasé à chaque mise à jour de Horde.
# Protection du pear.conf si celui-ci est accessible en http
<Files pear.conf>
order deny,allow
deny from all
</Files>
# Spécifie l'emplacement de pear
php_value include_path /var/www/horde/pear/php
SetEnv PHP_PEAR_SYSCONF_DIR /var/www/horde
Protéger aussi votre répertoire pear si celui-ci est accessible en http (/var/www/horde/pear/.htaccess) :
order deny,allow
deny from all
Ensuite, il vous faut configurer correctement votre service http et rendez-vous sur la page de horde. Personnellement, à ce stade, je n’ai configuré que la partie SQL. Il vous suffit de suivre les indications pour mettre à jour les configurations et les schémas de bases (c’est du clique clique je vous laisse vous en dépatouiller…)
J’ai modifié une préférence par défaut, c’est l’option qui dit d’utiliser la corbeille et non de marquer les messages tels que supprimés :
A l’expédition d’un message avec pièce jointe j’ai eu l’erreur « unable to open VFS file« , pour résoudre ce problème il faut modifier la configuration d’IMP :
Pour les besoins un ami directeur d’une école primaire, ayant récupéré à droite à gauche des iMac G3 & G4 j’ai fait une installation de lubuntu (version plus Light d’ubuntu)
Préambule : la version lubuntu est plus légère dans sont utilisation mais moins pratique à administrer. (moins d’interface prévue pour les tâches peu courante.. normal c’est plus liégé…) il va donc falloir se familiariser avec le terminal…
Insérer le CD et maintenez la touche « C » du clavier appuyé
Pour éjecter le CD lors du démarrage laissé le clique sourie enfoncé
Installation
Je vais passer l’étape d’installation qui doit se faire sans problème en suivant les étapes.
[G3] Graphique
Si jamais, comme moi, sur le G3 l’interface graphique ne se lance pas et que vous vous retrouvez avec le terminal « login: » connectez-vous et configuré l’interface graphique d’une des façons ci-après (non cumulable) :
Avec internet
Taper la commande ci-dessous pour obtenir une adresse IP :
sudo dhclient -v eth0
Puis taper la commande suivante pour télécharger le fichier de configuration de Xorg (trouvé ici)
Pour finir taper la commande pour redémarrer l’ordinateur
sudo reboot
Avec une clef USB
Depuis un autre ordinateur, créer un fichier sur une clef USB (formaté en FAT32) qui s’appelle xorg.conf à la racine de votre clef et ajouter lui le contenu qui se trouve à cette adresse : http://pastebin.com/RXFdwC80
Ensuite connecter la clef sur le iMac et taper les commandes suivantes :
sudo mount /dev/sdb1 /mnt/
sudo cp /mnt/xorg.conf /etc/X11/xorg.conf
sudo reboot
A la main
Éditer le fichier à la main :
sudo nano /etc/X11/xorg.conf
Le contenu du fichier est disponible à cette adresse : http://pastebin.com/RXFdwC80 il ne faut faire aucune faute de frappe, bon courage !
[G3] Réseau
Il est possible que le réseau soit directement détecté dans ce cas ne toucher à rien mais si ce n’est pas le cas deux solutions s’offre à vous (non cumulable)
a) Le rc.local
Ouvrer l’application LXterminal et taper la commande
sudo leafpad /etc/rc.local
Et comme sur l’image ci-dessous ajouter avant le « exit 0 » l’instruction suivante :
dhclient eth0
Puis redémarrer l’ordinateur.
b) Network-manager
La procédure trouvée consiste à éditer le fichier /etc/network/interfaces avec la commande :
sudo leafpad /etc/network/interfaces
Et d’y supprimer toutes les lignes sauf les 2 lignes suivantes :
auto lo
iface lo inet loopback
Connexion automatique
Pour que l’utilisateur se connecte directement sans mot de passe. La procédure trouvée consiste à éditer le fichier /etc/lightdm/lightdm.conf :
sudo leafpad /etc/lightdm/lightdm.conf
Le contenu doit être le suivant :
[SeatDefaults]
autologin-user=votre_nom_d_utilisateur (pour nous : bourg)
autologin-user-timeout=0
user-session=Lubuntu
greeter-session=lightdm-gtk-greeter
Ajouter un logiciel
De façon graphique vous avez deux possibilités de le faire :
L’imprimante devrait s’installer facilement car un pilote libre est disponible (ci-après) il faut surtout, si elle n’est pas reconnue dans la recherche automatique, déterminer son adresse IP (souvent il est possible d’imprimer la configuration et l’adresse IP se trouve dans la rubrique « réseau ».
La procédure consiste à installer le logiciel alacarte. Vous pouvez l’appeler par Menu / Préférences / Main Men
Optimisation
Désactiver mise à jour
Je conseils de désactiver les mise à jour automatique et de les faire manuellement de temps en temps.
Pour ce faire rendez-vous dans Outil système / Gestion des mises à jour puis dans Paramètres… / Mise à jour / Vérifier automatiquement les mises à jour : Jamais
Paramètre de session
Désactiver un maximum de choses inutiles dans le démarrage afin d’accélérer la vitesse : Préférences / Paramètres de Session
Décocher tout sauf Réseau & file d’attente
Supprimer superflus
Virer de façon graphique (Outil système / Gestionnaire de paquet synaptic) ou via LXterminal : apt-xapi-index
sudo aptitude remove apt-xapian-index
Conclusion
Le G3 est franchement limité en ressource je pense qu’augmenter la RAM et éventuellement opter pour un disque dur plus rapide ne serait pas un mal. (Il y a plein de HowTo sur internet pour ça juste en tapant par exemple : « upgrade RAM imac g3 » dans votre moteur de recherche préféré – d’ailleurs c’est ce que les gens semble faire…
Le G4 beaucoup moins de problèmes et bien plus performant sans aucun doute, ça peut tourner comme ça même si c’est pas non plus une foudre de guerre.
Edit 13/04/2015 : Ajout d’@mynetworks pour que les réseaux connus soient marqués DKMI.
DKIM (DomainKeys Identified Mail) est une norme d’authentification par clef publique/privé du nom de domaine de l’expéditeur d’un courrier électronique. Une partie de la signature est comprise dans l’entête du message & une autre dans un enregistrement DNS TXT dédié.
Elle constitue une protection efficace contre le spam et l’hameçonnage. Elle permet aussi surtout (et c’est en ça qu’elle nous intéresse le plus) d’éviter de se faire considérer comme SPAM.
Je parle d’ISPconfig dans mon titre car c’est ce qui motorise mon serveur en ce moment, mais je pense que la procédure fonctionne avec Amavis en règle générale.
Pour être vraiment certain que votre message est signé vous pouvez vous envoyer un email sur une adresse externe et vérifier les entêtes. Sinon vous pouvez envoyer un email à : check-auth [arobase] verifier.port25.com et vous reverser un rapport complet sur « l’état de votre port 25 »
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Summary of Results
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SPF check: pass
DomainKeys check: neutral
DKIM check: pass
Sender-ID check: pass
SpamAssassin check: ham
La partie importante pour nous est donc le DKIM check qui doit être à « pass ». D’autre part je ne peux que vous conseiller d’ajouter aussi un enregistrement SPF.
Le rapport m’indique que j’ai un SpamAssassin score de -2 ce qui est très bon car la configuration par défaut de SpamAssassin annonce les messages en SPAM lorsqu’il dépasse un score de +5.
OpenDNS est un service DNS gratuit. C’est pour moi une très bonne alternative au DNS de mon fournisseur d’accès (peu performant & même souvent en panne…) Selon le blog d’info16 OpenDNS n’a pas à rougir de ces performances et l’offre « home » gratuite me convient amplement.
La principale critique faite à OpenDNS c’est son côté menteur… Par exemple si vous tapez un nom de domaine qui n’existe pas, vous allez être redirigé vers leur moteur de recherche (avec pub) et ça c’est moche… Mais il possible de désactiver ce méchant côté menteur moyennant la création d’un compte (En utilisant une adresse email jetable bien sûr)
Pour des besoins personnels j’ai codé un petit script en Perl (toujours sous licence beerware) afin de pouvoir scanner un répertoire IMAP avec la puissance de SpamAssassin à distance. ça s’avère très pratique :
Quand on ne maîtrise pas le serveur de messagerie ;
Qu’il n’y a pas d’anti-spam (ou un anti-spam tout pourrit) ;
Que votre serveur est trop « petit » (en terme de ressource) pour accueillir un SpamAssassin ;
Des solutions anti-spam déporté existait ici ou là et même là mais elle ne me satisferaient pas pleinement.. Du coup j’ai pris mes petits doigts et c’est partie…
Commentaire
Petit commentaire sur le code (visible dans ma bébé forge) :
Je n’ai pas trouvé mieux que la base sqlite pour dire « hey toi je t’ai déjà scanner je passe mon chemin » Ma première idée était de créer un flags IMAP personnalisé (genre « SpamChecked ») d’après ce que j’ai lu ça n’est pas permis dans le protocole IMAP standard… c’est moche…
(Une amélioration à penser) Il faudrait pouvoir stocker le mot de passe en crypté.. le hic est qu’il faut que ça soit réversible pour le servir au serveur IMAP (?) là si quelqu’un à des idées je suis preneur…
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