Choisir son poêle de masse : Un calculateur en ligne pour vous aider

Installer un poêle de masse chez soi, c’est faire le choix d’un chauffage au bois performant et écologique, mais encore faut-il bien le dimensionner. De quelle quantité de chaleur votre maison a-t-elle vraiment besoin en plein hiver ? Quel modèle de poêle de masse conviendrait le mieux à vos besoins ? Ce sont des questions que je me suis posées il y a quelques années, sans trouver d’informations facilement accessibles…

C’est aussi une question récurrente chez les autoconstructeurs : par exemple autour du MiniMasse (auquel je continue de contribuer chez Agir Low-Tech), un petit poêle de masse, pour petit habitat. Beaucoup se disent « chouette c’est petit et pas cher » – oui, mais est-ce adapté à votre espace à chauffer ? Pour répondre à ces interrogations, j’ai développé choisir son poêle de masse, un logiciel libre en ligne qui estime les besoins de chauffage de votre habitat et suggère en conséquence le bon poêle de masse (de conception open source) qui y correspond le mieux.

Plusieurs méthodes de calculs

La première étape pour choisir un poêle de masse est d’évaluer le besoin de chauffage de votre maison, c’est-à-dire la quantité de chaleur qu’il faut fournir pour maintenir une température confortable lors des périodes les plus froides. Selon vos connaissances en thermique du bâtiment et les informations dont vous disposez, le logiciel propose trois méthodes de calcul, du plus simple au plus précis :

  • Mode Basic (méthode G)Pour une estimation rapide. Cette méthode simplifiée utilise un coefficient global G caractérisant les pertes thermiques de votre logement. Vous pouvez choisir une valeur de G correspondant au niveau d’isolation de votre maison (par exemple G≈0,3 pour une maison très bien isolée, jusqu’à G≈1,8 pour un bâtiment ancien non isolé). C’est simple et empirique : on multiplie essentiellement ce coefficient par le volume et par l’écart de température, ce qui donne une idée grossière de la puissance de chauffage requise. Ce mode convient si vous n’êtes pas expert en thermique et voulez un ordre de grandeur rapidement. Toutefois, le résultat reste indicatif : il faudra peut-être affiner si votre projet se précise ou si votre maison a des particularités.
  • Mode Éclairé (méthode Ubat global)Pour un calcul intermédiaire. Ici on raisonne avec le Ubat global, c’est-à-dire le coefficient moyen de déperdition thermique de l’enveloppe du bâtiment. Si votre maison est relativement homogène en terme d’isolation (par exemple une construction récente où toutes les parois ont des performances comparables), cette méthode est un peu plus technique et affine le calcul. Ce mode donne une estimation plus précise que la méthode G tout en restant assez simple si l’isolation est uniforme.
  • Mode Expert (méthode Ubat par paroi)Pour un calcul au plus près de la réalité. Ce mode s’adresse à ceux qui ont de bonnes connaissances du bâtiment ou qui font face à un bâti complexe (ancienne maison rénovée, extension hétérogène, etc.). On détaille chaque paroi de la maison (murs, toit, plancher, fenêtres…), avec leurs dimensions et matériaux, afin de calculer un Ubat précis pour l’ensemble. C’est plus fastidieux (quoique pas insurmontable), mais indispensable si l’isolation n’est pas uniforme ou si vous disposez déjà d’une étude thermique détaillée de votre habitation. Par exemple, en rénovation, on a souvent des parois différentes les unes des autres : la méthode « expert » permet de prendre en compte chaque spécificité pour éviter les erreurs de calcul qu’entraînerait un simple coefficient global. C’est le mode à privilégier si vous voulez un dimensionnement aux petits oignons de votre poêle de masse, notamment dans les projets complexes où la méthode G peut montrer ses limites.

En pratique, l’application vous permet de sélectionner votre « niveau de connaissance » (Débutant, Éclairé ou Expert) dès le début, ce qui ajuste les paramètres disponibles. En mode débutant, l’interface reste épurée avec peu de données à saisir (superficie, volume, isolation estimée…). Plus on monte en expertise, plus on a accès à des réglages pointus (coefficient U personnalisable, ajout des différentes parois, matériaux sur mesure, ponts thermiques, etc.). Chaque utilisateur peut ainsi choisir la méthode adaptée à son cas.

Des données météo en temps réel pour plus de précision

Quel que soit le mode de calcul, le logiciel intègre les données météorologiques de votre localisation pour affiner le résultat. Autrefois, on utilisait une carte de France découpée en zones climatiques (température moyenne de base par département) ; désormais, le logiciel va chercher directement la température de base correspondant à votre commune grâce à une API météo qui reprend les données du projet Européen Copernicus. Concrètement, il vous suffit d’indiquer votre localisation (vous pouvez sélectionner votre ville sur une carte intégrée) et l’outil récupère automatiquement la température de base qui servira de référence pour dimensionner le poêle.

En développant ce logiciel, je me suis vite rendu compte que la température de base était un paramètre crucial, et que la norme qui fait foi en la matière semblait approximative… J’ai donc lancé une enquête auprès de l’AFNOR, Météo France, le COSTIC et autres… (en partie visible ici) pour comprendre comment cette température était actuellement déterminée et quels écarts existaient avec la réalité du terrain. Cette enquête, a permis de révéler que les normes en vigueur, NF P52-612, auraient besoin d’être révisées pour mieux prendre en compte les évolutions climatiques récentes. Et que l’opacité de la méthode de calcul était, au mieux, regrettable. Pour aller plus loin sur ce sujet essentiel, j’ai rédigé un article détaillé sur le site de l’AFPMA : Réviser la température de base NF P52-612, une nécessité.

Pourquoi est-ce important ? Parce que la puissance requise dépend fortement de la température minimale à affronter. Par exemple, une maison en Bretagne n’aura pas le même besoin qu’une maison en Alsace. Grâce à l’API météo, le calculateur s’adapte à votre région en temps réel. Par ailleurs, le logiciel utilise aussi les degrés-jours unifiés (DJU) de votre localisation pour estimer la demande de chauffage sur une saison complète. En effet, au-delà de la puissance instantanée nécessaire par grand froid, on souhaite savoir combien d’énergie sera consommée sur tout l’hiver. Les DJU permettent de calculer cela, et par extension d’estimer la consommation de bois sur la saison de chauffe. Cette estimation de consommation bois a été ajoutée dans le logiciel pour donner une idée des quantités de bûches ou de granulés que vous utiliserez. C’est très utile pour le futur usager : vous pouvez anticiper le volume de bois à prévoir chaque année, et aussi comparer l’efficacité de différents scénarios d’isolation par exemple (voire l’impact d’une amélioration d’isolation sur la consommation annuelle).

Des suggestions de poêles de masse

Une fois les besoins de chauffage calculés, Choisir son poêle de masse passe à la seconde étape : vous suggérer un ou plusieurs modèles de poêles de masse adaptés. L’outil s’appuie pour cela sur une base de données de poêles de masse open source. Ces poêles libres (dont les plans sont partagés) ont des puissances et caractéristiques connues – par exemple le MiniMasse développé par l’association Agir Low-Tech, les modèles Oxa-libre de différentes puissances, l’Uzume, etc. En comparant la puissance de ces poêles disponibles aux déperditions de votre maison calculées précédemment, le logiciel identifie ceux qui correspondent le mieux à votre besoin de chauffage.

Un logiciel libre, gratuit et collaboratif

Choisir son poêle de masse est un logiciel 100 % libre et gratuit. Je l’ai développé dans un esprit d’ouverture : le code source du projet est publié sur Framagit (GitLab) et chacun est invité à y contribuer. Que vous soyez développeur, poêlier, designer ou simple utilisateur, vous pouvez participer à son amélioration. Par exemple, il est possible de proposer de nouvelles fonctionnalités, d’aider à la traduction (l’interface est déjà disponible en français et en anglais, d’autres langues peuvent suivre), d’améliorer le design de l’application, ou encore d’enrichir la base de matériaux pour les parois. En effet, le mode Expert permet de créer des matériaux personnalisés (avec leur conductivité, etc.) et de partager ces données pour qu’elles bénéficient à tous les utilisateurs. Le projet est collaboratif jusqu’au bout : vos contributions, retours et idées sont les bienvenus pour le rendre plus fiable et convivial.

Autre aspect de cette philosophie ouverte : plusieurs versions et déclinaisons du calculateur existent pour différents usages. L’outil de base – disponible sur choisir.poeledemasse.org – est pensé pour les autoconstructeurs ou particuliers qui veulent concevoir et dimensionner eux-mêmes leur poêle de masse (c’est cette version que je mets en avant dans cet article). Mais à partir de ce tronc commun, j’ai réalisé des adaptations spécifiques :

  • Minimasse – accessible via https://minimasse.choisir.poeledemasse.org – est une version simplifiée dédiée au modèle MiniMasse. Elle permet de tester en deux temps trois mouvements si un MiniMasse peut suffire pour chauffer votre habitation, ou s’il faut envisager un poêle plus grand. C’est très pratique pour ceux qui sont tentés par ce poêle de masse très compact et économique : on peut vérifier instantanément si « ça passe ou pas » avant de se lancer. Si le MiniMasse ne convient pas, l’outil élargit automatiquement la recherche aux autres poêles de masse open source disponibles afin de vous suggérer une alternative adaptée.
  • Uzume – A une déclinaison intégrée au site d’Uzume (un acteur bien connu dans le domaine des poêles de masse open source). Sur la page d’Uzume consacrée au dimensionnement, ce module permet aux lecteurs de calculer leur besoin de chauffage et de comprendre quel poêle il leur faut, sans quitter le site d’Uzume. Pour moi c’est une belle reconnaissance de voir ce calculateur utilisé de cette manière !
  • Étude et Dimensionner – (etude.poeledemasse.org et dimensionner.poeledemasse.org) sont deux instances du logiciel à destination des professionnels. L’idée est de fournir aux poêliers et bureaux d’étude un outil en ligne pour dimensionner les poêles de leurs clients et partager les résultats facilement. Par exemple, un artisan peut saisir toutes les données d’une maison en rénovation dans etude.poeledemasse.org, et envoyer le lien du résultat au client ou à un collègue. Chacun peut ainsi consulter l’étude thermique en ligne, avec les chiffres clés. C’est une façon moderne de remplacer les tableurs que les poêlier utilisait jusque-là, tout en profitant de la transparence et de l’évolutivité du logiciel. À noter que ces versions « pros » peuvent avoir un design ou des options légèrement adaptés (par exemple, afpma.choisir.poeledemasse.org est une variante orientant l’utilisateur vers un artisan poêlier de l’AFPMA prêt de chez lui.

En résumé, choisir son poêle de masse s’inscrit dans une démarche low-tech et open source : il vise à démocratiser le dimensionnement des poêles de masse, en rendant ces calculs techniques accessibles au plus grand nombre, gratuitement. Évidemment, les résultats fournis restent indicatifs et ne remplace en rien une (vraie) étude thermique : il est toujours recommandé de faire valider son projet par un professionnel qualifié (par exemple un artisan membre de l’AFPMA) pour s’assurer que tout est en ordre dans les moindres détails. Toutefois, cet outil offre déjà une base pour orienter vos choix et vous auto-former. Il peut vous éviter de grosses erreurs (comme sous-dimensionner votre poêle et avoir froid, ou le surdimensionner et l’utiliser inefficacement) en amont de votre projet.

Pour vos questions poêles de masse : un forum dédié aux poêles de masse open source existe ! Venez discuter du MiniMasse, du poêlito et compagnie…
forum.poeledemasse.org

La paillourte cherche son poêle : Le poêle de masse « Petit abitat » d’Agir Low-Tech ?

Licence CC BY SA 4.0 – Agir Low-Tech

Mise à jour : Le poêle de masse d’agir low-tech a été fabriqué et installé dans la paillourte

Agir Low-Tech travaille actuellement sur la conception d’un poêle de masse open source pour les petits habitats (la nécessité première pour avancer vers la sobriété). Contrairement au poêlito, il serait à foyer fermé (ce qui laisse présager un meilleur rendement) & certifié. Côté points communs : ça restera un poêle de masse open source, documenté, accessible financièrement, avec plaque de cuisson et dans le futur il chauffera peut être même de l’eau… Donc si tu es (ou envisages) de vivre en Yourte, en Paillourte, en TinyHouse, ou autre petit habitat, Agir Low-Tech travaille pour toi ! (pour nous 🙂 ).

Pour que ce projet puisse se concrétiser, il leur faut des € car il y a du matériel, des instruments de mesure et des centaines d’heures de travail… alors je vous encourage à donner, parce que développer un poêle ça ne s’improvise pas et pour connaître des acteurs du projet : ça bosse bien et ça partage !!! (merci !)

Page d’appel aux dons du projet : https://agir.lowtech.fr/t/pdm/projets/tiny/fiche-de-presentation/

Il n’existe pas/peu de poêles de masse documentés / auto constructibles pour les petits habitats. Souvent, ceux-ci utilisent donc un poêle qui n’est pas correctement dimensionné pour leur habitat. Hors un poêle à bois bien dimensionné, c’est important pour éviter toute pollution de l’air. Un poêle en sous tirage (faire traîner une flambée) ou en sur tirage (trop d’oxygène) fait baisser le rendement du poêle et augmente l’émission de particules fines.

Le feu dans la cheminée, c’est ce qu’il y a de pire. Seulement 15 % du bois brûlé sert réellement à chauffer. À 85 %, il part dans les fumées, produit des gaz polluants et des émissions de particules fines très élevées. Ce mauvais rendement entraîne une surconsommation de bois importante et encrasse vite le conduit. À titre de comparaison, se chauffer une seule journée avec du bois dans la cheminée émet autant de particules fines que parcourir 3 500 km avec une voiture diesel.

Source quechoisir.org

Retour sur le premier hiver dans la paillourte

Graphique de ~24h dans la paillourte sans chauffe le soir en hiver (jaune = température extérieure, rouge = température intérieure, bleu = température local matériel solaire)

La température baisse de 1,5° à l’intérieur de la paillourte (20° à 21h, 18,6 le matin à 9h) alors qu’il fait 0,5°C dehors à 9h ce matin là… Une mini flambée le matin à 10h30 : on a brûlé des chutes de bois (environ 1 petit seau de maçon, ça fait monter la température (trop fort) à 25 en 3/4 d’heure…).

Observations

La température est stable (dû a un habitat bien isolé avec de l’inertie – enduit terre) mais le poêle (un petit mais vieux poêle à bois de 4kW en fonte CHAPPEE qu’on m’a donné) est trop puissant : il chauffe trop vite/trop fort.

On a vraiment pas besoin de beaucoup chauffer dans l’hiver on a brûlé ~2/3 de stère de bois, et quand je dis bois c’est du bois de palette et des morceaux de charpente vermoulue – donc du très léger, peu calorique.

La masse de la paillourte (enduit terre crue, dalle terre crue…) de la maison n’a pas le temps de chauffer : la masse de la maison se réchauffe par rayonnement, hors le poêle n’a pas le temps de chauffer/rayonner qu’il faut déjà l’éteindre car l’air est déjà trop chaud (en moyenne, je dirais que le poêle est allumé à peine 1 heure / jour). Le fait d’éteindre rapidement le poêle n’est pas une bonne chose en terme d’émission de particules fines, mais le poêle n’est pas arrivé à température pour avoir un rendement correcte que nous l’éteignons car il fait trop chaud…

Pourquoi un poêle de masse ?

Avec un poêle de masse la montée en température sera plus douce, il n’y aura pas de surchauffe :

Avec un poêle de masse, les murs se réchaufferont avec le rayonnement de celui-ci, la chaleur sera mieux répartie dans l’habitat et le confort s’en trouvera bien meilleur.

Merci Agir Low-Tech pour ce travail de développement, impatient de le tester dans la paillourte 😉

Pour vos questions poêles de masse : un forum dédié aux poêles de masse open source existe ! Venez discuter du MiniMasse, du poêlito et compagnie…
forum.poeledemasse.org

Isolation / inertie ? Isolation intérieur/extérieur ?

Pour discuter souvent de bâtiment j’ai le sentiment que cette notion / différence entre l’inertie et l’isolation n’est pas comprise. Peut-être qu’il faut être passé par un bâtiment sans inertie (nous la yourte) pour en comprendre l’intérêt :-p

Pour faire une analogie avec ton lit :

  • L’isolation : ça sera la couette sur ton lit. Sa fonction c’est de retenir la chaleur (de ton corps) pour éviter qu’elle s’échappe trop vite. Plus la couette est épaisse moins la chaleur va s’échapper rapidement (si vous dormez dehors avec la même couette par 15° ou 0° vous pouvez constater cette différence…
  • L’inertie : ça serait une bouillotte que tu met dans le fond de ton lit. Elle agit comme une « batterie thermique ». Elle a emmagasiner de la chaleur (exemple de l’eau qu’on a fait chauffé) et elle la restitue tout au long de la nuit. La couette ralentie le processus d’échappement de la chaleur.

S’il fait froid on est content d’avoir une bonne couette (isolant) et même une bouillotte (inertie). L’un sans l’autre (toujours s’il fait froid) n’aurait pas de sens…

Alors pourquoi isoler par l’intérieur me semble pas pertinent ?

Est-ce que tu aurais l’idée de mettre ta boulotte sur ton lit/par dessus ta couette ? Non ça n’a aucun sens… Et bien pour un bâtiment c’est la même chose. L’inertie permet d’avoir une température stable.

Pond thermique sur un planché (isolation intérieur)
Problème identique sur un mur de cloison
  • Il est très complexe en isolation par l’intérieur de ne pas avoir de pond thermique (illustration ci joint) et donc des point froid qui vont vous donner de l’inconfort et plus de dépense de chauffage
  • Un bâtiment isolé par l’intérieur va être sujet à la surchauffe l’été. En effet il n’y a pas de batterie thermique donc une fois que la chaleur est dans l’air il faut attendre et ventiler la nuit pour arriver à faire tomber un peu la température (c’est pour ça qu’un bâtiment en pierre – très forte inertie mais pas d’isolation va être agréable l’été)
    • J’ai eu le témoignage de quelqu’un qui avait fait une maison avec un label passif ou autre norme payante avec une épaisseur d’isolation complètement folle MAIS isolé par l’intérieur. L’été sa maison est invivable…
  • Un bâtiment isolé par l’intérieur ne va pas bénéficier de l’inertie des murs. Votre chauffage chauffe l’air de votre maison mais peut aussi (dépend du moyen utiliser) réchauffer vos murs si vous avez isolé par l’extérieur. Les murs vont donc par la suite aigre comme batterie thermique, ils vont capter de la chaleur et la restitué de façon douce et progressive.
© 2017 Ma Maison Container.

Isoler par l’intérieur peut être pertinent si l’espace est occupé très occasionnellement. Dans ce cas l’hiver le poêle va uniquement avoir besoin de chauffer l’air, pas plus (pas les murs ils sont derrière l’isolant)… ça va donc plus vite chauffer (mais ça va aussi vite redescendre)

Tout ça est un peu vulgarisé mais ça me semble nécessaire d’en passer par là…

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