Fabrication four/cuiseur solaire

Pour vos questions « cuisson solaire » (four/tube…) : un forum dédié existe, j’y suis pour papoter ! Venez discuter : https://forum.cuisson-solaire.fr/

By atlascuisinesolaire.com [Public domain], via Wikimedia Commons

Edit 2016 : nouvel article sur la construction de mon four solaire de type boîte et sur mon cuiseur solaire parabolique.

En voilà une bonne alternative au barbecue ! et plus si affinité…

Un fonctionnement tout ce qu’il y a de plus simple. J’ai découvert ça lors d’un chantier participatif chez Hervé. Lui avait fabriqué un cuiseur solaire avec une ancienne parabole satellite qu’il avait recouvert de filme réfléchissant… et… c’est tout ! ça turbine à plus de 100°C !

Ressources :

La peinture à l’ocre / argile

potsSuite à un chantier participe fait avec Formaterre, Thierry Baruch m’a parlé de la peinture à l’ocre. Une solution écologiquement / économiquement idéale pour le bois. Je vous conseil d’ailleurs l’article de Thierry :

[…] revient à environ 1€ le kilo de peinture […] … en 45 minutes !!! […] Vous avez besoin de 260 grammes de farine de blé ou de seigle. Mélangez-les à 20 cl d’eau pour obtenir  une pâte. Ajoutez-y 3 l d’eau chaude. Passez au mixeur pour obtenir un mélange homogène, sans grumeaux. Laissez cuire à feu doux 15 mn.Une fois le mélange homogène, versez 1kg d’ocre en pluie fine puis 100 g de sulfate de fer. Chauffez à feu moyen et remuez fréquemment pendant 15 minutes. Il est possible d’utiliser également le mixer. Attention : Si vous utilisez une cuillère en bois, elle sera difficilement récupérable.Pour finir Versez ensuite 40 cl d’huile de lin (de préférence de noix, mais c’est beaucoup plus cher) puis 4 cl de savon liquide biologique. A nouveau, remuez le tout pendant 15 minutes. Soyez vigilant pour éviter l’accroche au fond du récipient. Laissez refroidir. Vous disposer de quelques kilos de peinture.

A noter que toutes les couleurs sont disponibles, du rouge au blanc, gris, noire, jaune, bleu… Maintenant si vous en avez sur votre terrain c’est encore mieux…

Des ressources :

Écoconstruction dans le Rhône – départ

By habitatvegetal.com
By habitatvegetal.com

Je vais résumer dans ce billet de quoi démarrer en l’éco|auto-construction dans le Rhöne.

Compaillons : THE asso qui fait la promotion des maisons pailles

Oikos : c’est l’antenne local des Compaillons. C’est par eux que j’ai démarré, de très bon contact, des petites formations gratuites le samedi matin, mise en relation pour des chantiers participatifs, visite de chantier… bref le top !

Formaterre : Encadrement de chantier participatif spécialement dans les enduit terre/paille mais pas que.. Thierry est très sympa et un bon formateur !

CASTORS, Sur Villeurbanne, il assure les auto constructeurs en cas d’accident sur les chantiers mais ce n’est pas forcement des maisons paille. Ils proposent des visites de chantiers de toutes sortes… Pas rencontré mais j’en ai entendu beaucoup de bien.

De toute façon il n’y a rien de mieux que de participer… Aider les auto-constructeurs : Eux seront ravi d’un coup de pouce et en échange tu peux rapprendre en pratiquant

LA Licence Beerware

beerwareUne belle licence qui invite à la rencontre, au partage et pourtant si méconnu…

Au départ de l’écriture de ce billet, je voulais  fustiger les postes sur des forums / blogs dans ce style :

J’ai fait un super script qui permet d’être gentil avec son système, j’en profite pour vous le partager :

#!/bin/bash
# Copyright MOI MOI <MOI@MOI.MOI>. This program is free software;
# you can redistribute it and/or modify it under the terms of the GNU General Public License
# as published by the Free Software Foundation; either version 2 of the License,
# or (at your option) any later version.
#
# This program is distributed in the hope that it will be useful,
# but WITHOUT ANY WARRANTY; without even the implied warranty of
# MERCHANTABILITY or FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE.  See the
# GNU General Public License for more details.
#
# You should have received a copy of the GNU General Public License
# along with this program; if not, write to the Free Software
# Foundation, Inc., 51 Franklin St, Fifth Floor, Boston, MA  02110-1301  USA
#
# Please take a look at http://www.gnu.org/licenses/gpl.html
if ! [ -z "$1" ]
then
    ionice -c3 -p$1 ; renice -n 19 -p $1
else
    ionice -c3 -p$$ ; renice -n 19 -p $$
fi

Pourquoi ?  Parce que quand je vois 3 lignes de code dans un forum et que je vois une licence :

  • Copyright : ça me déprime;
  • Copyleft : ça me chiffonne ;

J’ai envie de savoir s’il est vraiment pertinent de mettre sous licence pour 3 lignes de codes ? (je pense que non)

A l’arrivée : je viens de passer ce blog d’une licence Créative Commons By à une licence Beerware…  je ne vais pas vous faire un dessin sur le cheminement qui mis a conduit… c’est probablement l’aboutissement de {m|l}a démarche libriste…

Ce que dit la licence :

La licence dit :

/*
 * --------------------------------------------------------------
 * "THE BEER-WARE LICENSE" (Revision 42):
 * <phk@FreeBSD.ORG> wrote this file. As long as you retain this 
 * notice you can do whatever you want with this stuff. If we meet 
 * some day, and you think this stuff is worth it, you can buy me
 * a beer in return Poul-Henning Kamp
 * ---------------------------------------------------------------
 */

Traduction en français (sources) :

/*
 * ----------------------------------------------------------------
 * « LICENCE BEERWARE » (Révision 42):
 * <phk@FreeBSD.ORG> a créé ce fichier. Tant que vous conservez cet 
 * avertissement,vous pouvez faire ce que vous voulez de ce truc. 
 * Si on se rencontre un jour et que vous pensez que ce truc vaut le 
 * coup, vous pouvez me payer une bière en retour. Poul-Henning Kamp
 * -----------------------------------------------------------------
 */

Donc, comme le dit la licence, si le contenu de ce blog vous plaît et qu’on ce croise offrez-moi une bière « en retour ».

[FredgniX] diff et patch en dix minutes

Je me permets ici de reprendre un article du blog de FredgniX, qui a été fermé (ce que je trouve bien dommage, je revenais souvent sur cet article) je le pose donc ici pour en garder trace… (retrouvé sur webarchive)

Le guide de dix minutes sur diff et patch

[…]

Voici un guide rapide sur diff et patch qui vous aidera dans ces situations en décrivant les outils de la façon la plus communément utilisée. Il vous en dira suffisamment pour commencer de la bonne façon. Plus tard, vous pourrez apprendre les tenants et les aboutissants de diff et patch à votre guise, en utilisant les pages de manuel.

Appliquer des patchs avec patch

Pour appliquer un patch à un seul fichier, mettez vous dans le dossier où se trouve le fichier à modifier, le patch et appelez patch :

patch < foo.patch

Ces instructions assument que le patch est distribué dans un format unifié, qui identifie le fichier sur lequel appliquer le patch. Sinon, vous pouvez le préciser avec la commande :

patch foo.txt < bar.patch

Appliquer des patches à un dossier complet (sûrement le cas le plus commun) est similaire, mais vous devez faire attention en identifiant le « niveau p ». Cela signifie que, dans les fichiers de patch, les fichiers à patcher sont identifiés par des noms de chemins qui peuvent être différents maintenant que les fichiers se trouvent sur votre ordinateur plutôt que sur l’ordinateur où le patch a été créé. Le niveau de profondeur p est fait pour ignorer les parties du nom de chemin afin qu’il puisse identifier les fichiers correctement. Le plus souvent un niveau de 1 fonctionnera, vous utiliserez donc :

patch -p1 < bar.patch

Vous devriez changer le répertoire source de haut niveau avant d’exécuter cette commande. Si un niveau p n’identifie pas correctement les fichiers à patcher, inspecter le patch pour repérer les noms complets d’accès aux fichiers. Si vous voyez un nom comme :

/users/stephen/package/src/net/http.c

Et que vous souhaitez modifier le fichier net/http.c, utilisez :

patch -p5 < baz.patch

En général, compter jusqu’à un pour chaque séparateur de chemin (barre oblique) que vous supprimez à partir du début du chemin, jusqu’à ce que ce que le chemin qui reste existe dans votre répertoire de travail. Le nombre atteint est le niveau p.

Pour effacer les effets d’un patch, utilisez l’option -R, comme ceci :

patch -p5 -R < baz.patch

Créer des patchs avec diff

L’utilisation de diff est simple si vous travaillez avec des fichiers ou des répertoires individuels entiers. Pour créer un patch pour un seul fichier que vous avez copié, renommé puis modifé, utilisez la commande :

diff -u original.c new.c > original.patch

Pour créer un patch pour une arborescence complète des sources, faire une copie de l’arbre :

cp -R original new

Apportez les modifications nécessaires dans le répertoire copié. Ensuite, créez un patch avec la commande suivante :

diff -rupN original/ new/ > original.patch

C’est tout ce dont vous avez besoin pour commencez à travailler avec diff et patch. Pour de plus amples informations, utilisez les pages de manuel :

man diff
man patch

pongSmtp.pl – Tester le bon fonctionnement de votre serveur mail

J’ai mis en place un bébé service pour tester du bon fonctionnement d’un serveur SMTP. En gros vous envoyer un email à ping [arobase] zici [point] fr (en l’occurrence) et vous recevrez en retour un email « pong » avec les entêtes du message reçu par le serveur.

Le mettre en place à la maison

Pré-requis : Perl & un serveur smtp configuré (pour moi c’est Postfix)

Ensuite 4 commandes et c’est réglé :

$ mkdir /opt/pongsmtp
$ git clone http://forge.zici.fr/source/vrac.git
$ cd vrac
$ # Sinon le code est ici : https://forge.zici.fr/source/vrac/browse/master/pongSmtp.pl
$ cp pongSmtp.pl /opt/pongsmtp
$ echo "ping: \"| perl /opt/pongsmtp/pongSmtp.pl\"" >> /etc/aliases
$ newaliases

Note : Si vous mettez en place ce script n’hésitez pas à m’en faire part. Une petite liste de « ping@dom1.com, ping@dom2.com…. » peut être intéressante…

Rien de plus à ajouter… si vous voyez des améliorations n’hésite pas !

Linutop 3 – Adaptateur alimentation disque 2,5 pouces

Un beau jour (ou peut être une nuit…) le boîtier de mon disque dur externe 2.5 décéda. C’est moche mais le principal, c’est que mon disque dur externe lui, ne l’est pas. Cela fait maintenant 2 ans et demie que je possède un Linutop 3 (dont je suis très content), je me suis justement rappelé qu’il y avait des ports SATA et donc la possibilité d’y connecter un disque dur.

J’ouvre donc la bête et là que ne fut pas ma stupeur : effectivement il y avait un connecteur SATA mais pas de câble d’alimentation SATA standard. Je regarde sur la boutique de linutop, ça ne semble pas être standard… Je me dit « bon 30€ l’adaptateur… je les aime bien chez linutop… j’achète ! (même si c’est quand même super cher pour ce que c’est…) » je me lance dans la commande et là : +15€ de frais de port ça fait un total de 45€…  A ce prix là je peux largement m’acheter un autre boîtier pour disque dur externe.

Borné, j’ouvre de nouveau la bête. Je remarque qu’il y a 2 Berg connector mâles (utilisés pour les disquettes), ce qui semble vaguement ressembler à la photo de l’adaptateur sur la boutique de linutop… Après d’autres recherches , je découvre que l’alimentation d’un disque dur SATA 2.5 pouces se fait en 5V + la masse. Parfait c’est ce qu’offre le connecteur Berg ! (le secret de polichinelle est percé 😮 )

Allez Hop une vielle alimentation de PC qui ne fonctionne plus, je découpe le connecteur Berg ainsi que le connecteur d’alimentation SATA, je fais 2 mini soudures, je branche…et…et…et… ça marche !!!

Conclusion : Linutop c’est bien !

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