Fabriquer son produit vaisselle maison

Voilà une recette pour fabriquer son produit vaisselle maison. La recette est aussi simple qu’une recette de cuisine. Le plus long sera d’acheter les ingrédients si vous ne les avez pas déjà (au moins en partie…). Cette recette n’est pas de moi, elle est disponible ici et sur la toile mais je trouve ce produit vaisselle tellement bien que j’avais envie de la partager. Il dégraisse vraiment bien en plus de mousser abondamment.

Ingrédients

  • 100g de Sodium Coco Sulfate :  (~1,40€) ;
  • 50g de Sodium Lauryl Sulfoacetate (SLSA) ou
    Tensioactif SCI : (~1,6€) ;
  • 10g de jus de citron (~1€) ;
  • 10g vinaigre des quatre voleurs, ou vinaigre de cidre ;
  • 10g d’eau ;
  • 15 gouttes d’huile essentielle Citron ;
  • 15 gouttes d’huile essentielle Lavandin ;

Avec ça, vous tenez plusieurs mois (~4, 5 mois)

Pour les ingrédients type SCI, Sodium de Coco vous trouverez ça dans des boutiques spécialisées en cosmétique (aroma-zone, macosmetoperso…), pour le reste vous trouverez ça très facilement en magasin bio.

La recette

  1. Mettre tout les ingrédients sauf les huiles essentielles au bain-marie, laisser fondre en remuant doucement jusqu’à ce que la texture vous semble crémeuse ;
  2. Hors du feu ajouter les huiles essentielles et mélanger de nouveau ;
  3. Mettez votre pâte dans un ramequin et patientez 24h avant utilisation.

Mode d’emploi : Humidifiez votre éponge et frottez-la quelques secondes sur le cake vaisselle.

Peut mieux faire ? Le produit marche très bien, seulement, ça m’ennuie d’utiliser des produits pas vraiment naturels ou issus de la filière coco, huile de palme… (qui ne sont pas très locaux). Je dis ça pour le Sodium, le SCI… Si quelqu’un a un substitut, qu’il n’hésite pas le partager…

EDIT 10/2019 : Le SCS est un produit issu du coco qui est (en plus d’être prélevé loin de chez moi) mais celui-ci semble être difficile à dégradé (et donc polluant pour le milieu aquatique) sous une certaine température. Ce n’est donc vraiment pas l’idéal. Si quelqu’un à mieux… Voici les lectures dont je tiens cette information ici, et ici.

Le 03 juin 2017 : venez construire votre banc en palette !

A travers eco-formation.org, j’organise un atelier d’une journée de fabrication de meuble en palette le samedi 03 juin 2017. Nous allons principalement apprendre à reproduire le canapé de jardin en palette (voir l’article). Voici toutes les infos sur cet atelier :

Descriptif : Voir les différentes techniques pour transformer des palettes en Mobilier. Pourquoi en palette : recyclage pure d’un produit jeté, brûlé (je ne travail pas avec des palettes EU consigné) qu’on trouve en abondance alors pourquoi se priver ?

Nous allons concevoir au minimum un banc en palette comme celui-ci :

Programme

  • Tour de mon mobilier en palette pour observer le champs des possibles
  • Apprendre à différence le type de palette
  • Démontage de palette (plusieurs techniques)
  • Fabrication à 2 ou 3 personnes d’un canapé de jardin en palette
  • Les canapés fabriqué seront proposé au tirage au sort à toutes personnes intéressés.

A prévoir : Repas partager le midi (chacun apporte de quoi manger et on partage), venir avec des bonnes chaussure, gans de bricolage. Si vous avez marteau, massette, pied de biche et que vous êtes disposé à les prêter ça peut être confortable d’en avoir un maximum

Lieu :  44 pays de la loir

Date : 3 Juin 2017

Horaire : de 9h à 17h30

Prix : au CHAPô : 20€ = PRIX DE BASE à régler lors de votre inscription (matières premières, frais logistiques…) + PRIX DE CONSCIENCE à verser sur place (la rémunération pédagogique du formateur est laissée libre, cela permet de mutualiser les moyens pour que chacun ait accès à la formation !)

Réserver vos places dès maintenant sur le site d’eco-formation.org

Douche sans eau courante dans la yourte

Pour les mêmes raisons que celles données à la fin de l’article sur l’évier sans eau courante, nous n’avons pas l’eau courante dans la douche. Tout l’été, nous nous sommes douchés à l’extérieur. Au début nous avions une douche portable sous pression QUECHUA (la même solution, moins cher, existe avec un pulvérisateur de jardin à pression préalable) mais à l’usage c’est pas des plus commodes, et finalement la solution gant de toilette et bassine est la solution avec laquelle je me sens le plus propre. L’hiver arrivant nous avons installé un petit bac de douche maison dans la yourte.

Pour faire le receveur de la douche, nous avons récupéré une grosse bassine en galvanisé de ~80cm de diamètre. Le galva à l’avantage de bien résister à la rouille. Ce bac a été percé au centre afin d’y mettre une bonde d’évier qui a elle-même été raccordée à un tuyau d’arrosage pour l’évacuation de l’eau (merci papa pour cette partie) :

La bonde d’évier avec un raccord maison pour le tuyau d’arrosage d’évacuation

Un tuyau de cuivre a été cintré au même diamètre que le bac (2ème merci papa pour ça) afin d’accrocher deux rideaux de douche pour faire le tour de la bassine. Voilà ce que ça donne :

Comme pour l’évier, nous récupérons l’eau dans un bidon pour arroser ensuite les plantes… Cette fois-ci le bidon de récupération se trouve à l’extérieur. Je n’ai pas voulu percer notre beau plancher de yourte. Du coup, j’ai fait un petit profile en bois qui suit la courbe du plancher et qui va être maintenu par la sangle anti-rongeur :

Et pour chauffer l’eau ?

L’été c’est sur le cuiseur solaire (ou le four solaire), l’hiver c’est sur le poêlito et le reste du temps (s’il fait pas beau mais pas assez froid pour allumer le poêle) nous faisons chauffer sur la gazinière.

Gestion de l’eau dans la yourte

Le parti pris dès l’installation pour l’eau dans la yourte est : pas d’eau courante. Pour une raison simple, c’est que quand j’ai accès à l’eau courante j’ai tendance à l’utiliser bien trop. En tout cas plus que si je dois aller chercher l’eau (même tout près), qu’elle ne coule pas en abondance du robinet. De plus, le problème n’est pas tant l’arrivée d’eau que l’évacuation / le traitement des eaux souillées. N’ayant pas l’envie/le temps de mettre un système d’épuration (type phytosanitaire) en place (qui est en plus difficilement nomade donc pas très compatible avec la vie en yourte), le choix d’avoir l’arrivée d’eau juste devant la yourte c’est vite imposé.

C’est comme ça que, depuis l’installation dans ce mode de consommation, et sans se dire à tout prix « je fais attention à ma consommation d’eau », aujourd’hui nous sommes à une consommation de ~18L d’eau par jour et par personne.

Pour 18L d’eau / jours / personne, est-il nécessaire d’avoir un système d’épuration ? J’en doute, l’eau rejeté est utilisée pour arroser les plantes alentours (qui sont contentes visiblement). Ça oblige à être très rigoureux sur les produits utilisés : 0 javel ou autre produit non assimilable / non respectueux de la nature.

A titre de comparaison, un Français c’est en moyenne 150L / jour / personne. En ce qui nous concerne, on est dans la moyenne d’un Africain Sub-Saharien qui consomme lui entre 10 à 20 L / jour / personne.

Voilà les sources de dépense en eau que nous avons :

  • La boisson, la cuisine ;
  • L’évier sans eau courante pour la vaisselle, la petite toilette ;
  • La douche sans eau courante (~2L par douche) ;
  • La machine à laver (~50L / cycle)

Les toilettes sont des toilettes sèches (fini de chier dans de l’eau potable), pas de lave-vaisselle au autre… L’arrosage du potager c’est le puits.

Et vous, à combien êtes vous ? Je donne le calcule si vous êtes curieux de le faire chez vous.

  • X : Prenez votre facture d’eau et récupérez le volume en mètres cube (m3) consommés que nous allons appeler X.
  • Y : Déterminez le nombre de mois facturés que nous allons appeler Y.
  • Z : le nombre d’habitant

X / (Y*30) / Z = Nombre de litres / jour / personne

Exemple : 1877 L / (2 mois * 30j) /  2 personnes = 15,6L / jour / personne

Note : Vous pouvez relever votre compteur d’eau et le relever de nouveau un mois après pour faire le calcul sans facture.

Et l’eau chaude ?

L’été, c’est sur le cuiseur solaire (ou le four solaire), l’hiver c’est sur le poêlito et le reste du temps (s’il fait pas beau mais pas assez froid pour allumer le poêle) nous faisons chauffer sur la gazinière. De cette façon on ne fait chauffer que ce dont on a besoin (à l’inverse d’un ballon par exemple).

L’autonomie en eau

On m’a dit que sur la yourte, récupérer l’eau c’est pas terrible (rapport à l’eau qui ruisselle sur la toile acrylique) en plus de ne pas être simple (rapport aux gouttières rondes pas forcément simple à concevoir). En plus pour faire un système nomade pour potabiliser l’eau, ça semble pas non plus évident… Souvent c’est le stockage se fait dans de grandes cuves en béton, béton qui apporte la minéralisation…

Donc comment récupérer et potabliser l’eau de pluie avec un système nomade ? Je vais tâcher de m’y pencher…

Installation/finitions du Poêlito

Pour vos questions poêles de masses : un forum dédié aux poêles de masses open source existe ! Venez discuter du MiniMasse, du poêlito et compagnie…
forum.poeledemasse.org

La yourte est montée, le poêle est construit, mais il manquait quelques petits assemblages à faire avant l’hiver.

Sous le poêlito

J’avais des plaques de lièges de reste de l’isolation du plancher de la yourte, le liège ayant des qualités thermiques et mécaniques (pas d’écrasement), j’en ai posé une au sol et j’ai récupéré une plaque d’un alliage étrange de 15mm d’épaisseur… ça va avoir le mérite d’ajouter de la masse et de répartir un peu plus la charge sur le plancher

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Petit support pour soulager l’évacuation

La yourte, c’est souple, quand le dôme bouge, le tuyaux d’évacuation aussi, j’ai pris les devants en faisant un petit support pour que le tuyau d’évacuation des fumées qui sort du poêle ne soit pas trop sollicité.

Scellement au mortier

Le poêlito a été déplacé de son lieu de construction à la yourte, le déménagement n’a pas été de tout repos :

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Mais celui-ci étant fait, il restait à sceller la cloche et le tuyau d’alimentation. Aucun rôle structurel, c’est juste pour éviter que le sable ne fuit par les espaces entre les ailettes.

Dans le manuel du poêlito il est dit :

Mortier de terre : c’est simple c’est de la terre argileuse (qui colle) et du sable en proportions variables. Généralement 1 argile pour 3 à 5 sable, avec ce qu’il faut d’eau pour en faire des boules qui se tiennent et qui collent. Si pour un enduit ou de la maçonnerie il vaut mieux s’assurer d’avoir les proportions idéales, ici ça n’a aucune importance ! Alors ne te prends
pas la tête sur les dosages 😉

Donc je ne me suis pas pris la tête. Lors du montage du sous lambourdage, j’avais trouvé une petite veine d’argile que j’ai réussi à localiser de nouveau.

Pour en savoir plus sur les tests de base pour déterminer la teneur en argile de votre terre c’est par ici.

Remplissage de sable

Le poêlito a une masse (inertie) semi-démontable, la partie haute du bidon est à remplir de sable et à vider quand on déménage (c’est là sa force). J’ai donc rempli le mien avec du sable et ajouté la tresse minérale (joint de porte d’insert) autour de la cloche.

Contemplation

Voilà des petites photos du (gros) bébé terminé / installé pour l’hiver :

Première flambée

Première flambée après la fin de l’installation ou vous pourrez admirer le rendu de la flamme sur la plaque vitro céramique :

Petit mot sur le bois

Le poêlito, comme tout poêle, consomme du bois sec. Dans une yourte il n’est pas nécessaire de mettre de grosses bûches de chaînes centenaires pour avoir bien (trop ?) chaud. De la palette ou du petit bois convient très bien. Personnellement, j’ai récupéré du bois sec à droite à gauche et coupé du bois mort, mais il ne rentrait pas dans le poêlito (car trop gros). J’avais beaucoup de travail pour ce qui était de fendre le bois. Le merlin j’ai essayer et pifffiiiouuu c’était pénible et fastidieux. Du coup je me suis payé un Smart-Splitter, et là je dois dire que c’était limite du plaisir (toutes proportions gardées) de fendre du bois. Avec cet engin, il est très facile de faire « des allumettes » parfaites pour le poêlito.

Aller, une petite vidéo pour vous montrer l’engin :

Note : la vidéo est ce qu’elle est…  et je précise que je n’ai aucune action dans l’entreprise qui fabrique cet outil.

Pour vos questions poêles de masses : un forum dédié aux poêles de masses open source existe ! Venez discuter du MiniMasse, du poêlito et compagnie…
forum.poeledemasse.org

Préparer sa yourte à la tempête

Traditionnellement, c’est la couronne qui était attachée à une grosse pierre en cas de tempête. Cela évite à la yourte de s’envoler en cas de dépression (pour les constructions en dur, c’est les toitures qui s’arrachent).

L’atelier de la Frênaie nous a conseillé un procédé en cas de tempête. Une corde fait le tour du toit et 8 cordes en partent jusqu’au sol. Au sol ce sont 8 ancrages en bois (~1m) ou sont accrochés les cordes :

J’ai utilisé le nœud tarbuck qui est autocensurant mais ajustable. C’est très pratique, ça me permet de relâcher la tension des cordes « tempête » quand il n’y a aucun risque, ce qui évite le frottement des cordes sur la toile (qui l’use) ainsi que la tassement de la laine de mouton.  Je ne mets de tension que quand il y a risque de fort vent. Ce nœud magique ce fait comme ceci :

Notons que même avec ça, il faut avant tout choisir un bon emplacement pour ne pas être trop exposé au vent, parce qu’une yourte brisé par le vent, ça arrive

Sources : https://www.lesnoeuds.com/noeud-34.html

Installation électrique solaire autonome – Mise en œuvre

Edit 05/2017 : J’ai rédigé un article de retour d’expérience après le passage de l’hiver (période la plus critique en autonomie solaire…). Il y a aussi eu quelques modifications sur l’installation. A lire ici.

La concrétisation de l’étude (voir l’article Installation électrique solaire autonome – Étude), c’est la mise en œuvre.

Les supports

Lorsque j’ai fais ma terrasse en palettes, je me suis retrouvé avec beaucoup de bastaings, c’est ceux-ci qui m’ont servi à fabriquer les triangles de mes supports. L’écartement à été maintenu avec des planches provisoirement placées – learn more. Le résultat final n’est pas encore connu :-/ (j’ai pas terminé quoi)

Comme annoncé dans l’étude, l’inclinaison va être de 66° :

L’installation sera au sol, au départ je voulais fabriquer un support pour  optimiser l’angle d’inclinaison au plus pertinent selon ma localisation.  Après réflexion ça ne me semble pas pertinent. il faut que je mette l’inclinaison optimum pour le mois le moins ensoleillé, soit l’hiver. L’été je serai de toute façon en excédent de production […] Le résultat, pour moi, donne un angle de 66° au mois de janvier, qui est le pire des mois niveau ensoleillement (période ou l’inclinaison va donc être plus décisive). Je vais donc choisir cet angle de 66°

Le niveau a été fait avec un niveau à eau, les supports sont posés sur des cales de différentes hauteurs. Des piquets de bois enfoncés dans le sol à l’arrière des supports vont être solidarisés avec ceux-ci pour éviter le basculement par fort vent.

Mise à la terre

Chaque module photovoltaïque va être relié à la terre, je vais me servir de celle-ci pour mon réseau électrique. Si vous vous demandez à quoi sert la mise à la terre des panneaux, la réponse se trouve ici.

La boîte « local technique »

J’ai choisi de mettre une « boîte technique » au plus près des panneaux, de convertir le signal continu en alternatif afin d’éviter les pertes dues au courant continu ainsi que l’achat de grosses sections de câble coûteuses pour faire passer ce même courant continu. Cette solution a pour avantage de ne pas encombrer la yourte et d’offrir la possibilité de déporter la production d’électricité à distance raisonnable de la yourte (pratique si jamais celle-ci est ombragée parce qu’entourée d’arbres par exemple…).

Celle-ci doit être ventilée, isolée & étanche pour que la matériel conserve une durée de vie raisonnable. Selon ce site, il est préconisé de maintenir une température comprise entre 10 & 30° pour maximiser la durée de vie des batteries.

Image

Un petit mot sur la ventilation, deux trappes ont été prévues. La première côté Nord en bas pour l’entrée d’air (car le vent froid vient du Nord) La seconde en haut au Sud pour l’expulsion (aidée l’été par un ventilateur). La chaleur monte, elle sera donc naturellement guidée vers le haut  La grille Nord sera bouchée par l’intérieur l’hiver pour éviter tout risque de gel.

La pente de toit est mise plein ouest (vent dominant) et le débord de toit est de 20cm.

Cette boîte a été principalement construite avec de la récup’ :

  • Isolant liège en plaques de 4cm pour le toit : reste de la construction du planché de la yourte
  • Isolant liège en vrac 2,5cm pour les murs : les mêmes plaques de lièges émiettées (parce que je n’en avais plus suffisamment pour faire 4cm partout)
  • Isolant polystyrène pour le plancher : récupéré dans la poubelle d’un magasin d’électroménager (pile-poil 2,5cm…)
  • Plaque d’OSB pour les murs : des chutes récupérées dans la poubelle d’un menuisier
  • Tôle ondulée : récupérée dans la poubelle du même menuisier
  • 2 trappes de ventilation (10€) grillagées fin et profilées pour que la goûte d’eau reste à l’extérieur.
  • 1 ventilateur USB (9€) – j’avais un convertisseur 230/USB dans un coin
  • Un minuteur journalier analogique (7€)
  • De la visserie (<10€)
  • 2 Charnières (<10€)

Le ventilateur est un ventilateur USB (ça consomme peu) branché sur un adaptateur secteur pour simplifier la mise en œuvre. Il est lui même branché à un minuteur journalier analogique qui permet de couper le ventilateur la nuit et de l’allumer en journée. Ce dispositif sera débranché en hiver car pas nécessaire.

Installation / Câblage

Pour l’achat du matériel je suis passé par une petite entreprise proche de chez moi (airsol44) qui a été de bon conseil, qui a passé du temps à répondre à mes petites interrogations/inquiétudes et qui a eu la gentillesse de me préparer les câbles (sinon il faut acheter une grosse pince ou s’en faire prêter une…)

Voici le schéma de câblage :

schemacablageinstallationphotovoltaiqueautonomeyourteC’est parti :

C’est branché, tout s’est allumé normalement, il n’y avait plus qu’à connecter la yourte dessus et voilà, tchao le nucléaire !

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D’ici quelques mois (certainement après l’hiver) je ferai un autre article pour faire des retours d’utilisation.

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